29 décembre 2011
03 décembre 2011
29 novembre 2011
25 novembre 2011
22 novembre 2011
21 novembre 2011
20 novembre 2011
Examen décembre 2011
- Localiser un territoire par rapport à un autre en donnant une direction (rose des vents) et en calculant une distance (échelle numérique ou linéaire).
- Calculer les coordonnées géographiques d'un territoire en degrés et minutes (fiche 1).
- Reporter les coordonnées géographiques d'un territoire sur une carte (différentes échelles possibles) munie de parallèles et de méridiens (fiche 12).
- Utiliser correctement les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux.
- Localiser sur un planisphère muet les 23 limites naturelles sélectionnées (océans, mers, montagnes, ...) des continents.
- Identifier les limites naturelles des continents (exercice inverse 5).
- Délimiter sur un planisphère les 4 continents suivants : Asie, Amérique, Afrique et Europe.
- Construire géométriquement le parallèle sur lequel se trouve un territoire (Terre vue de profil) ainsi que le méridien (coupe de la Terre au niveau d'un parallèle).
- Identifier les 5 parallèles particuliers et restituer leur latitude.
- Situer un territoire : identifier (dans un ou plusieurs documents) les éléments paysagers déterminant le site (quel est le relief local, quelle est la nature du terrain, quels sont les éléments hydrographiques et comment sont-ils disposés ?).
- Le relief : première composante paysagère (fiche 3) - Calculer (%) la valeur d'une pente - Identifier des formes générales (plaine, bas-plateau, haut-plateau, montagne) et secondaires (colline, butte-témoin, vallée, dépression) du relief sur photos, coupes topographiques et cartes physiques.
- L'hydrographie : deuxième composante paysagère (fiche 4) - Utiliser correctement le vocabulaire hydrographique de base (fleuve, rivière, affluent, confluent, amont, aval, source, embouchure, rive droite, rive gauche, méandre, bassin hydrographique, débit).
- Observer : appliquer le tableau des éléments identifiables (fiche 2) en modifiant un tableau erroné, de façon à obtenir une observation correcte.
- Des crayons : un crayon ordinaire, un crayon rouge, un vert, un bleu, un jaune, un orange (pas de feutres fins, moyens, épais, pas de "STA..." fins, moyens, énormes, ... !!!).
- Une calculatrice (qui possède la fonction extraordinaire de donner les décimales ... !!!).
- Une latte
- Un rapporteur
- Un compas
- Une lecture attentive des objectifs ci-dessus, de préférence bien avant la veille de l'examen (humour !!!).
12 novembre 2011
Quel est notre rapport avec l'eau ?
Présentation de l'émission
05 novembre 2011
Contrôle de synthèse 2 - Novembre 2011
- Localiser un territoire : reporter ses coordonnées géographiques sur une carte munie de parallèles et de méridiens (possibilité de le faire à différentes échelles).
- Situer un territoire : identifier (dans un ou plusieurs documents) les éléments déterminant le site (Quel est le relief local ? Quelle est la nature du terrain ? Quels sont les éléments hydrographiques et comment sont-ils disposés ?).
- Le relief : première composante paysagère (fiche 3) - Calculer (%) la valeur d'une pente - Identifier des formes générales (plaine, bas-plateau, haut-plateau, montagne) et secondaires (colline, butte-témoin, vallée, dépression) du relief sur photos, coupes topographiques et cartes physiques.
- L'hydrographie : deuxième composante paysagère (fiche 4) - Utiliser correctement le vocabulaire hydrographique de base (fleuve, rivière, affluent, confluent, amont, aval, source, embouchure, rive droite, rive gauche, méandre, bassin hydrographique, débit).
01 novembre 2011
Mobilisation !
Hello chers élèves et chers autres !
Ci-dessous, vous trouverez le lien qui vous permettra de rejoindre l'initiative de "ONE".
ONE
25 septembre 2011
Pour une gestion raisonnée de l'eau - Documents de réflexion
L'eau est une ressource relativement abondante, mais 97,5% de l'eau sur la planète est salée. Sur les 2,5% de l'eau douce restante, 70% est prisonnière des glaces et un peu moins de 30% se trouve dans des nappes souterraines inaccessibles aujourd'hui. Seules les eaux de rivières et des nappes phréatiques faciles d'accès sont utilisables par les hommes, soit environ 0,5% de l'eau douce. Économiser l'eau est une priorité absolue, pour chacun de nous.
http://www.goodplanet.info/
Espagne : Menacée par la pénurie d’eau
Marie François
En Espagne, l’eau est considérée comme un facteur primordial de développement et sa rareté, doublée d’une répartition très inégale, comme un problème national depuis plus d’un siècle. La politique de l’eau, axée sur l’accroissement de l’offre - qui s’est surtout traduite par des projets de grande envergure comme le transfert d’une partie des eaux fluviales ou le dessalement de l’eau de mer -, a été la seule réponse envisagée par les autorités face à une demande de plus en plus importante. A aucun moment, il n’a été question d’analyser la pertinence de cette dernière, encore moins de la remettre en cause. En fait, depuis les années 1990, la pression croissante des activités économiques sur les ressources, qu’il s’agisse du recours, massif dans le cas espagnol, à l’irrigation (77 % de l’utilisation totale) ou de l’urbanisation impressionnante de la frange du littoral méditerranéen, a engendré une augmentation substantielle de la consommation d’eau. Avec une hausse de 55 % de cette dernière entre 1996 et 2000, la région de Murcie (sud-est du pays) en fournit une illustration édifiante. L’essor d’un tourisme proposant non seulement d’importantes capacités d’accueil mais aussi des services très voraces en eau (piscines, golfs, etc.) dans le cadre d’énormes complexes hôteliers fermés (resorts) a trouvé, dans la législation locale, un soutien décisif en dépit des critiques dénonçant le mépris manifesté pour l’environnement et le développement durable.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/revues/grande-europe/focus/02/espagne-menacee-par-penurie-eau.shtml
Les craintes de pénurie d'eau
Patrick Love
Programme de l'OCDE sur l'avenir
En 2025, pour la majorité des habitants de la planète, l’approvisionnement en eau pourrait être « insuffisant » voire « dramatiquement insuffisant ». A en croire les prévisions, il est peu probable que les facteurs à l’origine de cette situation ne soient prêts de disparaître.
Serions-nous bientôt à cours d’approvisionnement en eau ? La question peut paraître exagérée, mais le fait est que les pressions exercées sur les ressources en eau sont appelées à s’intensifier, provoquant ainsi de nouvelles tensions géopolitiques. Ces pressions viendront notamment de l’augmentation de la population mondiale : selon les projections, celle-ci devrait passer de 6 milliards d’individus aujourd’hui à 8 milliards dans 25 ans. Cette croissance démographique interviendra principalement dans les pays qui connaissent déjà des problèmes d’approvisionnement en eau. C’est le cas par exemple de l’Éthiopie, dont la population, actuellement de 62 millions d’habitants, devrait plus que doubler d’ici à 2025 pour atteindre 136 millions d’habitants, soit environ la moitié de la population actuelle des États-Unis.
L’urbanisation rapide qui accompagne cette explosion démographique – au cours des 25 prochaines années, les pays en développement devraient compter 2,5 milliards de nouveaux citadins – ne fera qu’accentuer les graves problèmes d’approvisionnement en eau. La plupart des villes n’ont tout simplement pas les moyens d’accueillir ce surcroît de population. Les infrastructures en place sont déjà fortement sollicitées et l’extension des services imposera un coût financier gigantesque.
L’un des facteurs qui devrait certainement aggraver les pénuries d’eau est la tendance au réchauffement de la planète. Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), la Terre devrait en effet connaître une élévation des températures comprise entre 1,5 et 3 degrés au cours du siècle prochain. Si la consommation d’eau de boisson et d’irrigation sera certainement appelée à augmenter, des effets indirects, plus difficiles à maîtriser, pourraient également se manifester : hausse des pertes par évaporation et moindre réalimentation des nappes phréatiques, apparition plus fréquente d’événements météorologiques extrêmes comme les orages (pouvant entraîner une surcharge des réseaux d’épuration), modification des zones climatiques et des saisons susceptible d’avoir des incidences prononcées sur l’approvisionnement en eau. Même dans les régions où le volume total des précipitations annuelles ne changera guère, des problèmes risquent de se poser si ces précipitations sont concentrées en hiver ou si elles délaissent les zones agricoles.
Un problème planétaire
Le changement climatique pourrait probablement avoir des retombées au-delà des régions exposées à des phénomènes graves de sécheresse ou d’inondation. Des pays comme le Royaume-Uni ont commencé à en étudier les répercussions possibles sur un large éventail de secteurs, notamment sur la gestion de l’eau. Les travaux révèlent que, même en partant des hypothèses prudentes formulées par le GIEC concernant l’élévation des températures, à l’avenir, les ressources en eau seront déterminantes pour l’occupation des sols. Des projets de construction de logements pourraient être abandonnés par manque d’un approvisionnement économique en eau ou en cas de risques d’inondation.
Ici et là, des solutions techniques à plus petite échelle ont été proposées. En Jordanie, on envisage ainsi de prélever de l’eau du golfe d’Akaba dans la mer Rouge et de la transférer par canal vers la mer Morte, en profitant du dénivelé entre les deux points pour alimenter une centrale hydroélectrique. Cette centrale dessalerait une partie de l’eau de mer et rejetterait le reste dans la mer Morte pour endiguer la baisse de son niveau. Aussi ingénieux qu’ils puissent être, ces types de projets n’ont que peu de chances de créer de nouvelles sources importantes d’approvisionnement.
Aujourd’hui, l’attention se concentre sur des solutions permettant d’agir sur la demande, et notamment par le biais de mécanismes de tarification du marché, en vue de favoriser une utilisation durable. Si les pays de l’OCDE ne manquent pas d’eau, ils sont néanmoins plus souvent confrontés à des problèmes d’approvisionnement. Les ressources en eau douce de la planète continueront probablement de faire les frais de gaspillage et de la mauvaise gestion imputables à des prix excessivement bas, aux insuffisances des infrastructures et au fait que de meilleures technologies tardent à s’imposer. Pour encourager une consommation durable, il est essentiel de veiller à ce que les ressources et les
écosystèmes se voient attribuer une valeur économique et que les coûts externes, comme ceux induits par la pollution, soient répercutés sur les prix du marché.
En dehors des rares périodes de restriction de l’arrosage des jardins et du lavage des voitures, la plupart des habitants des pays de l’OCDE ne prêtent que peu d’attention à la manière dont ils utilisent l’eau, et encore moins à son coût réel et à sa provenance. Pour qu’il en soit encore ainsi à l’avenir, il convient d’agir dès maintenant afin de protéger les ressources qui nous approvisionneront demain. Ailleurs, la situation est par contre plus préoccupante. L’expérience nous enseigne en effet qu’il sera extrêmement difficile de conjuguer l’action politique, l’investissement et les formes de développement qui s’imposent, pour assurer à tous un accès équitable à des quantités suffisantes d’eau salubre.
http://www.observateurocde.org/news/fullstory.php?aid=16
22 septembre 2011
CS1 - Octobre 2011
3. Localiser un territoire par rapport à un autre en donnant une direction et en calculant une distance.
4. Utiliser correctement les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux.
5. Restituer le nom des différents continents et océans.
6. Localiser sur un planisphère les limites naturelles (23) des continents. 7. Identifier les limites naturelles des continents (exercice inverse précédent).
8. Délimiter sur un planisphère les quatre continents suivants : Asie, Amérique, Afrique et Europe.
9. Construire géométriquement des coordonnées géographiques.
10. Identifier les cinq parallèles particuliers et restituer leur latitude.
11. Calculer des coordonnées géographiques en degrés et minutes (fiche 1).
Matériel
Crayons ou feutres de couleur
Latte
Equerre
Rapporteur
Calculatrice
19 septembre 2011
15 septembre 2011
05 juin 2011
19 mai 2011
18 mai 2011
Objectifs de l'examen du 10 juin 2011
Compétences
Collecter et traiter des informations, les mettre en relation en mobilisant des savoirs, des modèles et des théories étudiés (voir ci-dessous) dans le but de réaliser une synthèse, sous la forme d'une analyse systémique (structurogramme).
Documents mis à ta disposition le jour de l'examen : le tableau des éléments identifiables (fiche 2) et la grille simplifiée pour la détermination des principaux climats (fiche 7).
Répondre à une question posée en identifiant dans divers documents les informations utiles.
Situer le territoire, ce qui implique de choisir les informations utiles relatives aux composantes naturelles.
Observer le territoire, c'est-à-dire appliquer correctement une grille de lecture du paysage (tableau des éléments identifiables).
Construire une carte (croquis) de synthèse en fonction de chorèmes, de façon à visualiser l'organisation territoriale.
Savoirs, modèles et théories à transférer
Identifier des éléments du paysage en rapport avec l'oro-hydrographie. Cela implique de maîtriser le vocabulaire de base : plaine, plateau, montagne, colline, butte-témoin, vallée, dépression, fleuve, rivière, affluent, confluent, amont/aval, rive droite/rive gauche, méandre, débit, estuaire, delta.
Calculer des densités de population.
Construire une carte de répartition de la population.
Construire un diagramme ombrothermique.
Calculer ΔT et ΣP.
Compléter la grille d'observation d'un diagramme ombrothermique (connaître le code couleurs pour les saisons thermiques et pluviométriques).
Identifier un climat sur base d'une grille simplifiée de détermination des principaux climats.
Calculer un taux d'accroissement naturel.
Théorie de la tectonique des plaques / identifier des phénomènes naturels liés aux mouvements des plaques lithosphériques.
Réaliser une synthèse sous la forme d'un structurogramme, ce qui implique de déterminer une suite logique causes – conséquences.
Matériel
Calculatrice
Stylo à encre
Crayon ordinaire
Effaceur / Gomme
Crayons de couleur (bleu, vert, rouge, jaune, orange ou marron)
Latte
29 avril 2011
CS métropole européenne (2011)
- Expliquer la situation de la métropole, c'est-à-dire identifier les éléments relatifs au relief local, à l'hydrographie et à la nature des terrains. Références : divers documents Bruxelles/Paris, tableau de synthèse et conclusions.
- Expliquer la notion de plan radioconcentrique, c'est-à-dire faire un choix parmi trois définitions possibles.
- Reconnaître sur carte les éléments du plan RC. Référence : carte Bruxelles 1550.
- Citer des exemples de mutations technologiques, démographiques et urbanistiques que connaissent les villes aux 19ème et 20ème siècles. Référence : analyse du document "La révolution Haussmann". Pour les 3F, voir les documents de la stagiaire.
- Reconnaître ces mutations sur carte. Référence : analyse de la carte 24 (atlas).
- Délimiter sur carte les deux composantes de l'agglomération : la ville et la banlieue. Référence : carte Bruxelles (périmètre originel, banlieue, limites de la région).
- Expliquer les notions suivantes : faubourg, agglomération, banlieue. Faire un choix parmi trois définitions possibles.
- Dynamique urbaine : compléter une carte de synthèse. Référence : modèle de la métropole européenne.
- Morphologie urbaine : identifier les caractéristiques morphologiques et fonctionnelles de la métropole.
- Expliquer la notion de quartier, c'est-à-dire faire un choix parmi trois définitions possibles.
Transférer toutes ces notions, ces concepts à une autre métropole que Bruxelles ou Paris.
23 avril 2011
15 avril 2011
31 mars 2011
29 mars 2011
24 mars 2011
Bienvenue dans le i World !
11 mars 2011
Nous pouvons agir pour limiter les dégâts du productivisme !
Objectifs du CS situation de la métropole européenne
- Citer les 4 formes générales et les 4 formes secondaires du relief (fiche 3).
- Calculer la valeur d'une pente en %.
- Identifier les formes générales et secondaires du relief sur photos, coupes topographiques et cartes physiques (fiche 3).
- Reconnaître sur carte les notions hydrographiques suivantes : fleuve, rivière, affluent, amont/aval, rive droite/rive gauche, méandre, delta/estuaire (fiche 4).
- Recueillir des informations, les traiter, les mettre en relation de façon à établir la situation d'un territoire (voir définition de site et travail Bruxelles/Paris).
- Expliquer la situation de la métropole européenne (synthèse).
01 mars 2011
23 février 2011
La mobilité à Bruxelles
Rédaction en ligne
mercredi 23 février 2011, 14:42
La ministre bruxelloise du Transport et des Travaux Publics Brigitte Grouwels va tester un service de taxis-motos pour réduire la pression automobile dans la capitale.
Brigitte Grouwels a annoncé le lancement, d’ici quelques mois, d’un projet-pilote pour tester un service de taxi assuré à l’aide de motos dans la capitale, à l’image de ce qui existe déjà à Paris et à Amsterdam.
Ce projet figure parmi les axes du plan 2011-2014, présenté par la ministre pour soutenir un secteur qu’elle conçoit comme « une alternative à la voiture ».
« Le taxi a un rôle à jouer dans la stratégie mise en place par la Région pour réduire la pression automobile de 20 % d’ici 2018. Il dispose d’un potentiel de croissance énorme si l’on en croit le maigre pour-cent qu’il représente dans les déplacements des familles », a commenté la ministre, présentant son plan à la presse.
Celui-ci comprend les principaux axes de l’accord conclu avec le secteur des taxis et qui visent à accroître la qualité du service offert, via une visibilité et une transparence tarifaire accrues, une offre diversifiée et une lutte contre les pratiques illégales.
Il vise aussi à élargir l’offre des taxis mixtes. Le service de taxis de nuit collectifs Collecto (actuellement 400) a trouvé sa place dans l’offre de transports de nuit et permis à la Région de réaliser des économies d’échelle. Il sera évalué d’ici 2013, année de l’échéance de la concession en cours.
Le plan prévoit aussi des incitants pour réduire l’impact des véhicules sur l’environnement. Bruxelles réservera ainsi à l’avenir un certain nombre de licences d’exploitation à des véhicules électriques et à moteur hybride.
Selon Brigitte Grouwels, la phase test de la nouvelle identité visuelle des taxis (noirs et équipés de bandes à damiers autocollantes ou aimantées uniquement sur les portes) est encourageante. L’ensemble du secteur devra l’avoir adoptée d’ici le mois de septembre prochain.
Le plan prévoit par ailleurs l’établissement d’un code de déontologie pour les chauffeurs. Celui-ci portera sur la propreté des véhicules, sur le comportement au volant et la tenue des chauffeurs, l’interdiction de fumer, etc. Les conducteurs seront formés à l’éco-conduite.
En matière de transparence, à partir de 2012, tous les taxis devront être équipés de taximètres numériques qui réduiront la charge administrative des chauffeurs et amélioreront l’information des voyageurs sur leur course.
La Région a consenti à une indexation des tarifs des taxis. Elle fera la chasse au refus des petites courses qui font l’objet de 14 % des plaintes de la clientèle, a averti la ministre.
Par ailleurs, le plan prévoit l’ouverture de discussions avec les communes pour ouvrir aux taxis l’accès de tous les sites propres réservés aux bus, situés sur leurs voiries.
Hydrographie
Cours d’eau généralement important qui se jette dans la mer.
Rivière ?
Cours d’eau affluent d’un fleuve ou d’une autre rivière au débit plus important.
Affluent ?
Cours d’eau qui se jette dans un autre cours d’eau plus important que lui à l’endroit appelé confluent.
Amont ? / Aval ?
En un point donné du tracé d’un cours d’eau, partie de ce cours d’eau située du côté de la source / partie de ce cours d’eau située du côté de l’embouchure.
Rive droite ? / Rive gauche ?
Rive d’un cours d’eau que l’on a à sa droite / à sa gauche quand on regarde vers l’aval.
Méandre ?
Sinuosité d’un cours d’eau au tracé arrondi et dont l’arc peut mesurer plus de 180°.
Bassin hydrographique ?
Territoire drainé par un réseau fluvial et constituant la zone d’alimentation du fleuve ou du cours d’eau.
Débit ?
Volume d’eau écoulé en un temps donné en un endroit déterminé d’un cours d’eau. Le débit d’un cours d’eau s’exprime généralement en m³/s.
Régime ?
Ensemble des variations du débit d’un cours d’eau au cours de l’année.
Crue ?
Elévation du niveau des eaux d’un cours d’eau. On tend à réserver le nom de crue aux montées puissantes et rapides, accompagnées de débordements et d’inondations.
Estuaire ?
Embouchure d’un fleuve dessinant dans la côte une sorte de golfe, évasé et profond.
Delta ?
Dépôts d’alluvions émergeant à l’embouchure d’un fleuve, et la divisant en bras de plus en plus ramifiés.
Formes du relief
Plaine ?
Etendue de pays plat ou faiblement ondulé, généralement assez vaste, et moins élevée que les pays environnants. Les cours d’eau y sont peu ou pas encaissés.
Plateau ?
Etendue de pays assez plat et dominant les environs. Les cours d’eau y sont encaissés.
Montagne ?
Relief d’altitude élevée caractérisé par de fortes pentes et par de fortes dénivellations entre sommets et fonds de vallée.
FORMES SECONDAIRES
Colline ?
Relief d’altitude modérée et caractérisé par la forme convexe de sa partie culminante.
Butte-témoin ?
Colline isolée en avant d’un plateau. C’est le témoin d’une ancienne extension du plateau.
Vallée ?
Dépression allongée entre deux versants et s’ouvrant vers l’aval.
Dépression ?
Portion en creux du relief terrestre.
Les coordonnées géographiques
La latitude d’un point est la distance angulaire de ce point à l’équateur, mesurée en degrés, par l’arc du méridien terrestre (latitude Nord, latitude Sud).
Equateur ?
Grand cercle de la sphère terrestre dont le plan est perpendiculaire à l’axe de rotation. Il divise la Terre en deux hémisphères (hémisphère Nord, hémisphère Sud).
Longitude ?
La longitude d’un point est la distance angulaire de ce point au méridien d’origine (GREENWICH), mesurée en degrés (longitude Ouest, longitude Est).
Méridien ?
Demi-grand cercle de la surface terrestre limité aux pôles. Le demi-grand cercle qui le complète se nomme l’antiméridien.
15 février 2011
Rotation et révolution de la Terre
06 février 2011
Concilier écologie et éthique pour la... Saint-Valentin !
27 janvier 2011
Contrôle de synthèse - Localisations
Convertir une échelle numérique en échelle linéaire et inversement.
Restituer la rose des vents complète (16 directions).
Localiser un territoire par rapport à un autre en donnant une direction et en calculant une distance.
Utiliser correctement les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux.
Restituer le nom des différents continents et océans.
Localiser sur un planisphère les limites naturelles (23) des continents.
Identifier les limites naturelles des continents (exercice inverse précédent).
Délimiter sur un planisphère les quatre continents suivants : Asie, Amérique, Afrique et Europe.
Construire géométriquement des coordonnées géographiques.
Identifier les cinq parallèles particuliers et restituer leur latitude.
Calculer des coordonnées géographiques en degrés et minutes (fiche 1).
Reporter les coordonnées géographiques d’un lieu sur un planisphère.
Matériel
Crayons ou feutres de couleur
Latte
Equerre
Rapporteur
Calculatrice