Pour que le cours de géographie soit une des clés de compréhension du monde qui nous entoure et le moteur de notre action citoyenne.
Ce blog se propose d'en être un des supports.
Nous soussignés, médecins, scientifiques, membres d'organisations environnementales et
citoyens de 204 pays, demandons urgemment l’arrêt du déploiement du réseau sans fil de 5G
(cinquième génération) y compris depuis les satellites spatiaux. En effet, la 5G entraînera une
augmentation considérable de l'exposition au rayonnement de radiofréquence, qui s'ajoutera au
rayonnement induit par les réseaux de télécommunications 2G, 3G et 4G déjà en place. Or on a
déjà la preuve des effets nocifs du rayonnement de radiofréquence pour les êtres humains et
l'environnement. Le déploiement de la 5G revient à mener des expériences sur les êtres humains
et l'environnement, ce qui est considéré comme un crime en vertu du droit international.
Aurélien Barrau (né le 19 mai 1973 à Neuilly-sur-Seine) est un astrophysicien français spécialisé en relativité générale, physique des trous noirs et cosmologie. Il travaille au Laboratoire de physique subatomique et de cosmologie de Grenoble (LPSC) au sein du polygone scientifique. Il est également professeur à l'université Grenoble-Alpes.
Un rapport d'Attac France, des Amis de la Terre et du syndicat Solidaires révèle que l'entreprise Amazon a dissimulé 57% de son chiffre d'affaires réalisé en France et a largement "sous-évalué" son bilan carbone. Des accusations réfutées par le géant de la distribution.
Amazon a dissimulé 57% de son chiffre d’affaires réalisé en France en 2017, selon une enquête d’Attac France, des Amis de la Terre et du syndicat Solidaires que vous révèle franceinfo dimanche 24 novembre. D'après Attac, cette année-là, le chiffre d’affaires réel d’Amazon en France a été de l’ordre de 3,9 milliards d’euros, contre un chiffre d’affaires déclaré de 1,67 milliard d’euros. Selon les auteurs de l’enquête, en Europe, le pivot du système fiscal mis en place par l’entreprise repose sur des filiales installées au Luxembourg.
Amazon est décrite comme une "machine à surproduction" qui a vendu en 2018 "15 milliards" de produits. "Son modèle économique repose principalement sur la croissance continue des ventes de produits", souligne l'étude. Un modèle qui pousse à une "surconsommation" et produit des quantités d'invendus. Trois millions de produits neufs ont ainsi été détruits par Amazon en France en 2018. Amazon Web Services a aussi émis 55,8 millions de tonnes de gaz à effet de serre en 2018, soit l’équivalent des émissions du Portugal. Les centres informatiques d'Amazon sont, eux, une "véritable bombe pour le climat", selon le rapport. En 2018, les centres de données auraient consommé 198 TWh, soit 1% de l’électricité mondiale, plus que la consommation de la Thaïlande, la Pologne ou l’Égypte. "L’explosion du big data représente donc une réelle menace pour lutter efficacement contre le changement climatique."
Le bilan des pratiques sociales d'Amazon ne sort pas non plus grandi de cette étude. Les auteurs donnent en exemple des salariés soumis à des rythmes de travail permettant la livraison de 10 millions de produits dès le lendemain de la commande, surveillés au quotidien par des dispositifs électroniques et des retours de leur encadrement. Ils dénoncent le recours massif aux travailleurs précaires, aux livreurs ubérisés, jusqu'à la mise en concurrence avec des robots dans les entrepôts.
à Duisbourg, est un mathématicien, géographe et cartographeflamand,
inventeur de la projection cartographique qui porte son nom.
1. Restituer et appliquer une rose des vents à 16 directions (Loc p.3 ).
2. Utiliser les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux (Loc p.4).
3. Citer le nom des 6 continents et des 4 océans (Loc p.5).
4. Reconnaître sur un planisphère 23 limites naturelles des continents (Loc p.6).
5. Localiser sur un planisphère 23 limites naturelles des continents (Loc p.6).
6. Citer le nom des 5 parallèles particuliers, connaître leur latitude, les identifier sur une coupe de la Terre ou sur un planisphère (Planisphère rép. pop. mondiale + Loc p.9).
7. Calculer les coordonnées géographiques d'un lieu, en degrés et minutes (voir fiche 1+ Loc pp.10-11).
8. Localiser un lieu, c'est-à-dire reporter ses coordonnées géographiques sur une carte munie de parallèles et de méridiens (voir fiche 2 + Loc p.11).
10. Compléter la grille de lecture d'un diagramme ombrothermique. Connaître les codes couleurs pour les saisons thermiques et pluviométriques (voir fiche 9 + fiche 11).
11. Classifier les climats suivants : tempéré maritime (océanique), continental, tropical à saisons contrastées, méditerranéen. Connaître pour chaque climat les critères chiffrés de classification : température moyenne annuelle, amplitude thermique, saisons pluviométriques et total annuel des précipitations (voir fiche 11).
Avenir du modèle intensif, du système de distribution et de la profession : trois questions soulevées par la crise du monde agricole
Concilier écologie et compétitivité : le challenge est de taille pour les agriculteurs français. Mais face à la prise de conscience environnementale et aux exigences de qualité, le secteur tente de se réinventer.
L'agriculture dite "intensive", qui combine fermes industrielles, élevages en batterie et intrants chimiques, a la peau dure. Ce modèle agricole domine l'Occident depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, où il fallait nourrir le peuple. On cherche alors à maximiser les rendements par rapport aux facteurs de production – la main-d'œuvre, les terres disponibles, le progrès technique. On fait donc appel aux machines et aux intrants chimiques. Et ça fonctionne : les déséquilibres alimentaires qui existent sur la planète sont en partie corrigés, les coûts de production s'amenuisent, la production et la rentabilité sont décuplées.
Mais les premières limites du système intensif commencent à se faire sentir. "On sait bien que nos pratiques font mal, témoigne Antoine Faucheux, exploitant dans le Loiret. Depuis que j'ai 14 ans, je vois mon père malade à cause des pesticides."
Privilégier le circuit court et structurer des filières vertueuses est souvent présenté comme la solution à tous les maux de la planète. Les magasins bio fleurissent dans les villes et les AMAP font le bonheur de ceux qui ne jurent que par le local. Réduire les intermédiaires entre le producteur et le consommateur final permettrait une meilleure rémunération pour l'un et un prix plus bas pour l'autre. Sauf que dans la pratique, repenser tout un système de distribution n'est pas si facile. "Moi, je me considère comme producteur de matière première, et pas comme un commerçant, tranche David Jouault, agriculteur breton. On ne peut pas être à la fois au champ et à la ville, d'autant plus lorsqu'on est en bio et que nos cultures demandent beaucoup de temps."
L'agriculteur-ouvrier, qui suit "une recette de cuisine toute faite", doit se réinventer. "En passant en agriculture de conservation, je voulais redonner du sens à mon métier, commente David Jouault. Le recours à la chimie de synthèse était devenu un automatisme, alors qu'on peut obtenir de meilleurs résultats juste en se posant les bonnes questions." L'agriculteur breton a développé sa production en combinant culture des terres et élevage : "Quand un sol commence à être épuisé, ou qu'une culture prend un mauvais tournant, je peux faire pâturer les vaches pour la jachère."
A travers l’odyssée de Roberto de la Grive, tour à tour guerrier, savant et agent secret, puis naufragé non loin du mythique 180ème méridien – celui qui sépare aujourd’hui d’hier –, c’est à un carrousel ininterrompu de personnages, d’événements et d’idées que nous sommes conviés. Campagnes de la guerre de Trente Ans, salons parisiens, intrigues diplomatiques, jeux de l’amour, de l’art, de la pensée : rien n’échappe au tourbillon d’une époque où les découvertes de la géographie et de l’astronomie bouleversent les consciences.
Sur une vue de profil de la Terre, construire géométriquement des parallèles (latitudes).
Sur une coupe de la Terre au niveau d'un parallèle, construire géométriquement des méridiens (longitudes).
Calculer des coordonnées géographiques en degrés et minutes (voir fiche 1).
Reporter les coordonnées géographiques d'un lieu sur une carte munie de parallèles et de méridiens (voir fiche 2).
Les SUV, source majeure d'émissions et de réchauffement climatique dans le monde
Toujours plus nombreuses, ces voitures au look de 4x4, mais sans leurs capacités de franchissement, ont été la deuxième source d'augmentation des émissions de dioxyde de carbone (CO2) dans le monde entre 2010 et 2018, selon le directeur de l'AIE.
"Certes, des constructeurs automobiles mettent beaucoup d'argent dans les voitures électriques, mais les mêmes mettent aussi sur le marché de plus en plus de modèles de SUV", a souligné Fatih Birol à Paris, lors d'une conférence internationale sur l'électrification de l'énergie.
"Oui, les voitures électriques marchent fort, il y en a environ 6 millions dans le monde (...) Mais est-ce synonyme de décarbonation? Absolument pas", a-t-il insisté, relevant que la moitié roulent "dans un pays, en Asie", la Chine, où les deux tiers de l'électricité sont produits par des centrales à charbon. "Les voitures électriques ne sont pas la panacée, le pré-requis doit être une décarbonation du système énergétique", a-t-il plaidé.
Plus de 200 millions de SUV circulent aujourd'hui dans le monde, contre 35 millions en 2010, une tendance que l'on retrouve partout, relève l'AIE dans une note parue mardi. Souvent plus lourds et moins aérodynamiques, ces véhicules omniprésents dans les gammes des constructeurs consomment un quart d'énergie de plus qu'une voiture de taille moyenne, souligne le rapport.
François Mazure nous plonge dans les arcanes du géant de la vente en ligne pour découvrir comment fonctionne cet empire caché. Amazon expédie 158 colis à la seconde sur les 5 continents, soit 150 milliards chaque année. C'est l'entreprise américaine qui révolutionne le plus le capitalisme du XXIe siècle. Non seulement, elle " modélise " l'économie mais aussi les échanges commerciaux et les rapports sociaux. Qui est Jeff Bezos, son patron iconoclaste ? Comment cette entreprise a-t-elle fait main basse sur la planète ? Et quel avenir nous réserve-t-elle ? Réponses dans le documentaire édifiant d'Adrien Pinon et Thomas Lafarge. Surfant sur la révolution numérique et misant sur l'achat compulsif et le besoin immédiat, la firme américaine Amazon a bâti le plus grand supermarché de l'histoire de l'humanité en rendant dans l'instant, à portée de clic, tous les articles et données de la terre. A la tête de cet empire mondial, Jeff Bezos. Devenu l'homme le plus riche du monde, il traite d'égal à égal avec les chefs d'Etat les plus puissants de la planète. Fort de sa réussite, il prétend refonder la conception du commerce et du travail. Il expose sans complexe sa vision d'une nouvelle organisation de l'humanité. Machine de guerre commerciale, la compagnie colonise les réseaux, conçoit de gigantesques espaces de stockage, non seulement pour entreposer ses milliards de tonnes de marchandises mais aussi les milliards de données numériques. Le " cloud" d'Amazon serait aujourd'hui indispensable au fonctionnement d'internet. Sa stratégie : s'emparer un à un des territoires. Après les USA, l'Europe, et en particulier les zones fragilisées. Son nouvel objectif : l'Inde et son marché gigantesque. Quel est le prix de cette fulgurante réussite ? Ses conséquences, les implications, les enjeux sur le terrain, les résistances ? À la rencontre des pionniers de la compagnie - qui s'en sont démarqués pour certains-, des salariés de différents pays qui expérimentent au quotidien les limites du système, ce film documentaire, étayé par une enquête menée sur le terrain (France, Allemagne, Bruxelles, Pologne, Inde, USA), propose une plongée vertigineuse dans l'univers Amazon, son histoire et sa conception du monde.
Convertir une échelle linéaire en échelle numérique et inversement.
Restituer une rose des vents à 16 directions.
Localiser un lieu par rapport à un autre, en donnant une direction et en calculant une distance réelle à vol d'oiseau.
Utiliser les qualificatifs en rapport avec les points cardinaux.
Définir la notion de continent.
Citer le nom des 6 continents et des 4 océans.
Reconnaître sur un planisphère 23 limites naturelles des continents.
Localiser sur un planisphère 23 limites naturelles des continents (inverse de l'objectif précédent).
Localiser sur un planisphère les grandes agglomérations urbaines suivantes : Séoul, Pékin, Shangai, Tokyo, Bombay, Jakarta, Londres, Paris, Moscou, New York, Los Angeles, Le Caire, Rio de Janeiro.
Délimiter sur un planisphère l'Asie, l'Amérique, l'Afrique, l'Europe et l'Océanie.
Citer le nom des 5 parallèles particuliers, connaître leur latitude, les identifier sur une coupe de la Terre ou sur un planisphère.
Plantation de 4 000 kilomètres de haies: une idée saugrenue ?
En voulant planter "4 000 kilomètres de haies", le nouveau gouvernement wallon a placé la barre très haut. Une mesure qui aura fait hausser quelques sourcils, surtout en Flandre. Beaucoup se sont demandé quelle était l'utilité réelle de cette mesure.
Le paragraphe de l'accord de coalition wallon concernant la plantation de 4.000 kilomètres de haies a particulièrement fait parler de lui en Flandre. Il y est stipulé que celles-ci seront principalement plantées dans le paysage ouvert de Wallonie, afin d'améliorer la biodiversité. Si elle peut laisser certain perplexe, l'idée n'a pourtant rien d'incongru et répond à un véritable besoin. Tous les rapports sur la biodiversité s'accordent pour dire que cette dernière s'étiole dangereusement, même en Belgique.
Plus de haies faciliteront la vie des animaux en leur offrant une source de nourriture et refuge ou en reliant leur différents habitats entre eux. Ces haies sont de véritables autoroutes pour, par exemple, les hérissons ou les souris. Le long d'une haie, deux populations peuvent facilement se rencontrer. On évite ainsi la consanguinité au sein des différentes populations et on augmente le patrimoine génétique. Les racines des haies permettent de lutter contre l'érosion des sols. Enfin, les haies permettent également de contrer les phénomènes telles que les inondation et les coulées de boues, réduisent l'exposition au vent et diversifient le paysage.
Une opinion de Pierre Ozer, chargé de recherche, climatologue et coordinateur du master de spécialisation en gestion des risques et des catastrophes de l'ULiège.
Le nouveau feuilleton de l’été en Belgique s’est calqué sur un phénomène mondial. On y parle d’alerte rouge aux fortes chaleurs - niveau le plus haut jamais atteint pour l’alerte à la canicule, de risque élevé d’incendie de forêt en raison de l’extrême sécheresse, de fermeture des administrations communales à 13 h, de mesures de restriction d’eau dans de très nombreuses communes, d’agriculteurs inquiets suite aux déficits pluviométriques, de la fermeture des cours d’eau wallons à la navigation en kayak, etc. Et à en croire les prévisions météorologiques à 14 jours, ceux pour qui la pluie constitue une condition nécessaire à leur activité, voire à leur survie économique, ne sont pas au bout de leur peine.
Au même moment, en France, et comme si de rien n’était, les partis de droite disent ne pas vouloir de Greta Thunberg, cette jeune militante suédoise qui a initié les grèves scolaires pour le climat, à l’Assemblée nationale. Ils déclarent depuis quelques jours (morceaux choisis) : "Si je dis que je ne veux pas aller me prosterner devant Greta Thunberg, cette enfant de 16 ans invitée à l’Assemblée devant la représentation nationale, je sors (encore ?) du politiquement correct ?", pour Sébastien Chenu (Rassemblement national).
"Je respecte la liberté de penser… mais ne comptez pas sur moi pour applaudir une prophétesse en culottes courtes" ou encore "Malheur au pays dont le roi est un enfant !", selon Julien Aubert (Les Républicains).
Si ces élus ne semblent pas souvent regarder par la fenêtre, ils ont en revanche dû lire attentivement l’"enquête" du magazine conservateur Valeurs actuelles qui, le 28 juin dernier, consacrait sa couverture aux "charlatans de l’écologie". Mickaël Fonton, son rédacteur en chef, y signait un article intitulé - sous une photographie de Greta Thunberg : "Climat : ces prophètes de malheur qui nous promettent la fin du monde".
Le même jour, à Vérargues, dans l’Hérault, le record absolu de température en France s’établissait à 46 °C, pulvérisant le précédent record de 44,1 °C enregistré dans le Gard durant la dramatique et meurtrière canicule d’août 2003.
Des experts tirent la sonnette d'alarme: "Seul un changement de système permettra de contrer le réchauffement climatique"
Le panel d'experts constitué à l'initiative du mouvement "Youth For Climate", fin janvier, a rendu ses principales conclusions mardi.
"Seul un changement de système permettra de contrer le réchauffement climatique", selon la vingtaine de spécialistes qui ont pris part à la rédaction du rapport, sous l'égide du professeur et ancien vice-président du Giec, Jean-Pascal van Ypersele, et du maître architecte flamand, Leo Van Broeck. Épais d'une centaine de pages, ce rapport est le fruit d'un travail de dix semaines, effectué par une vingtaine d'experts issus du monde académique et de divers autres domaines sur base volontaire. Outre une analyse systémique, il met en exergue une dizaine de mesures concrètes, regroupées en 27 recommandations, pour une politique climatique et de développement durable forte.
Selon les experts, la politique climatique ne peut se limiter à une politique de la nature, ni se résumer à réduire uniquement les émissions de CO2. "Elle doit être axée autour du triptyque climat, écosystèmes et social", indiquent-ils, tout en encourageant "chaque niveau de pouvoir à prendre ses responsabilités de manière ambitieuse".
1. Reconnaître sur un planisphère 23 limites naturelles des
continents.
2. Localiser sur un planisphère 23 limites naturelles des continents.
3. Citer le nom des 5 parallèles particuliers, connaître leur
latitude, les identifier sur une coupe de la Terre ou sur un planisphère.
4. Localiser un lieu, c’est-à-dire reporter ses coordonnées
géographiques sur une carte munie de parallèles et de méridiens (fiche 2 +
cours).
5. Construire un diagramme ombrothermique (fiche 8 + cours).
6. Compléter la grille de lecture d’un diagramme ombrothermique.
Connaître les codes couleurs pour les saisons thermiques et pluviométriques
(fiche 9 + fiche 11).
7. Classifier les climats suivants : tempéré maritime
(océanique), tropical à saisons contrastées, méditerranéen, continental (voir
Moscou), équatorial et désertique chaud (voir exercices de révision). Connaître
pour chacun des climats les critères chiffrés de classification (fiche 11).
8. Citer les principaux marqueurs du changement climatique :
voir les sous-titres de la partie 2 (enjeu 1).
9. Montrer que le régime des pluies et des températures change en
complétant un diagramme des saisons thermiques et pluviométriques.
10. Définir la notion de « désertification ».
11. Citer cinq causes importantes de la désertification.
12. Identifier les formes générales et secondaires du relief sur
photos, coupes topographiques et cartes physiques (fiche 6). Calculer la valeur
d’une pente (en %).
13. Comprendre le sens et utiliser correctement le vocabulaire
hydrographique suivant : fleuve, rivière, affluent, confluent, amont/aval,
rive droite/rive gauche, méandre, bassin hydrographique, débit, régime, crue,
delta, estuaire (fiche 7).
14. Situer un lieu, c’est-à-dire identifier les éléments naturels qui
conditionnent ce lieu (fiche 3 + cours).
15.
Lister les atouts et les contraintes d’un site, sur base d’un tableau de
situation et de la localisation du lieu.
16. Localiser 10 chaînes de montagnes (voir planisphère d’introduction
à la tectonique des plaques).
Le concept de la Cité-jardin, selon Ebenezer Howard
(urbaniste britannique 1850-1928)
Ce contrôle de synthèse se déroulera "à cours ouvert". Il portera sur : - La tectonique des plaques. - L'étalement urbain (partiellement). Tu dois disposer des notes suivantes : - Les références spatiales 2 (montagnes, fleuves, détroits, canaux, caps, pays, métropoles). - La tectonique des plaques. - L'étalement urbain (partie 1).
Depuis sa création, la Terre est en perpétuel mouvement. Des forces colossales sont en action, les continents glissent, se fracassent les uns contre les autres. Nos reliefs, nos paysages et même notre climat résultent de cette danse souterraine. De l'Europe à l’Australie, en passant par l'Asie, la série « la valse des continents » propose un voyage géologique à la découverte de la tectonique des plaques.
Alfred Wegener. Géophysicien allemand (1880-1930).
Il élabora la théorie de la dérive des continents
supposant que les continents sont mobiles,
et proviennent de la division d'un supercontinent, la Pangée.
1. Identifier des formes générales (plaine, bas-plateau, haut-plateau, moyenne montagne, haute montagne) et secondaires (colline, butte-témoin, vallée, dépression) du relief sur photos, coupes topographiques et cartes physiques (voir fiche 6).
2. Calculer la valeur d'une pente (en %).
3. Comprendre et utiliser correctement le vocabulaire hydrographique suivant : fleuve, rivière, affluent, confluent, amont/aval, rive droite/rive gauche, méandre, bassin hydrographique, débit, régime, crue, delta, estuaire (voir fiche 7).
4. Expliquer le mécanisme de formation d'un delta et le mouvement de l'eau dans un delta et un estuaire.
5. Situer un lieu, c'est-à-dire identifier les éléments naturels (relief local, nature du terrain, disposition des éléments hydrographiques) qui conditionnent ce lieu (voir fiche 3 pour Dakhla et le transfert vers Naples et Kobe).
6. Lister les atouts et les contraintes d'un site, sur base d'un tableau de situation et d'une localisation.
7. Localiser 10 chaînes de montagnes (voir planisphère d'introduction à la tectonique des plaques).
Le glacierThwaites, de 600 km de long et 120 km de large est l'un des plus vastes d’Antarctique occidental.
La NASA a pu observer une énorme cavité dans la partie cachée du glacier. 300 mètres de haut, 10 km de long et 4 km de large
Cette poche accélère la fonte du géant en laissant passer de la chaleur et de l’eau de mer à l’intérieur même du glacier, alors qu’il est déjà, selon les scientifiques, responsable de 4% de la montée globale du niveau de l’eau.