A quelques semaines de la COP26 de Glasgow (Ecosse), une nouvelle étude souligne l'exposition des villes côtières au réchauffement climatique et l'intérêt de limiter ce dernier au maximum pour sauver des vies.
A quelques semaines de la COP26 de Glasgow, nouveau sommet sur le climat, leurs résultats soulignent l'urgence et l'intérêt d'enclencher une baisse de nos émissions de gaz à effet de serre, moteurs de ce changement et produit de notre mode de vie. "La plupart des politiques de réduction des émissions ne reflètent pas cette menace de long terme, elles nous dirigent collectivement vers des inondations généralisées et permanentes de nombreuses zones développées", regrettent les auteurs de l'étude.
Différents scénarios de réchauffement sont comparés : de +1,5 °C ou +2 °C, les objectifs de l'accord de Paris, à +4 °C, l'un des scénarios du pire, en passant par 3 °C, notre trajectoire actuelle. Résultat, si le réchauffement était contenu à 1,5 °C, 7,6% de la population mondiale (532 millions de personnes) se trouverait dans des zones sous le niveau de la mer, contre 14% (un milliard de personnes) si le mercure global grimpait de 4 °C. Actuellement, 5,3% de la population mondiale vit dans cette situation et 12% sont menacées si nous continuons d'émettre la même quantité de gaz à effet de serre.
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